Pour faciliter la compréhension, nous commencerons par un exemple pratique de crédit à la consommation. Un crédit à la consommation est ce que propose Ikea. Lorsqu’il vous donne la possibilité de financer vos achats en trois, six ou douze mois. Pour lequel, comme pour tout crédit, il vous demandera de remplir certaines conditions. Le premier est d’être membre de votre club. Le second, pour prouver votre solvabilité. Et le troisième, pour louer une carte de crédit.

Mode d’emploi

Le mode d’emploi est simple : vous faites l’achat dans le magasin, mais en réalité, celui qui vous finance est une banque, l’institution financière (finance les clients) d’Ikea. En d’autres termes, la banque paie votre achat à la chaîne suédoise et vous accorde un crédit à la consommation pour payer vos meubles par versements échelonnés.

La même chose se produit lorsque vous voulez financer une télévision par versements une entreprise qui possède sa propre société de financement, ou même un canapé dans un magasin de meubles local.  Si vous visitez ce site, vous trouverez qu’il y a une société de financement tierce derrière elle, qui accorde des crédits à la consommation, pour payer vos achats par versements. De la même manière, les crédits à la consommation sont aussi ceux qui sont demandés directement à une banque traditionnelle ou à une entité en ligne pour acheter une voiture, faire un voyage, changer de cuisine, etc. 

Caractéristiques des prêts à la consommation

Ils sont destinés à l’achat de biens et de services de consommation, tels qu’une voiture, un téléviseur, un ordinateur, des meubles, etc.

Ils ne sont pas d’un montant trop élevé.

Le client ou l’emprunteur est responsable de ses actifs présents et futurs. L’établissement de crédit évalue et étudie donc sa solvabilité au moyen d’une preuve de revenus, d’un inventaire des actifs ou d’une déclaration sous serment de ses actifs.

Ils sont traités plus rapidement que les prêts hypothécaires, mais les intérêts qu’ils portent sont plus élevés.

 

Le consommateur, entendu comme « la personne physique agissant dans un but étranger à son activité professionnelle », est spécialement protégé par la loi contre le comportement du prêteur et les informations qu’il fournit (et la manière dont il les fournit) dans le cadre du prêt. La loi met un accent particulier sur la détermination de concepts tels que le coût total du crédit et le taux annuel effectif global, en délimitant les cas dans lesquels le premier peut être modifié et en indiquant les conditions auxquelles cette modification doit se conformer.